par Claude Mauguier » 23 juil. 2013, 11:40
Lorsqu'on définit une ressource, il faut toujours se placer dans les conditions les plus défavorables afin d'en qualifier l'accès... nuit, brouillard, pluie, neige, pente excessive, terrain cahotique, etc. et être le plus précis possible. "à proximité", "un peu plus loin", "aux environs", ça ne veut rien dire ! C'est comme les Hottentots qui, pour évaluer une quantité supérieure à 3, disaient "beaucoup".
Sauf si c'est très très près de l'abri, il faut définir un cap et une distance, au minimum : SSE, 150 m par exemple ; les photos aériennes aident bien pour ça, sans doute mieux que les cartes.
C'est comparable au repérage en mer : à 500 m, avec la dérive, le courant, le brouillard, tu te plantes sur un caillou ou tu arrives au Groënland.
Lorsqu'on définit une ressource, il faut [i]toujours[/i] se placer dans les conditions les plus défavorables afin d'en qualifier l'accès... nuit, brouillard, pluie, neige, pente excessive, terrain cahotique, etc. et être le plus précis possible. "à proximité", "un peu plus loin", "aux environs", ça ne veut rien dire ! C'est comme les Hottentots qui, pour évaluer une quantité supérieure à 3, disaient "beaucoup".
Sauf si c'est très très près de l'abri, il faut définir un cap et une distance, au minimum : SSE, 150 m par exemple ; les photos aériennes aident bien pour ça, sans doute mieux que les cartes.
C'est comparable au repérage en mer : à 500 m, avec la dérive, le courant, le brouillard, tu te plantes sur un caillou ou tu arrives au Groënland.