J'ai attendu avant de répondre...je suis assez partagé.
On peut évidemment rechercher la précision dans les limites des massifs (un peu taillés à la hache au début), sans vouloir pour autant saucissonner à outrance, ainsi :
- Escreins désigne une vallée protégée au NO de la Font-Sancte, mais partie intégrale de l'ensemble "Queyras"
- Les Aravis ne constituent que l'extrème bordure orientale des Bornes.
- Parpaillon, Trois Evêchés et Pelat sont des subdivisions par forcément plus parlantes que "Embrunais" ou "Ubaye", par exemple.
Et il faut voir si le rapport surface/densité de cabanes en vaut la chandelle et se demander si un filet à sardines avec plein de mailles petites et vides est forcément mieux qu'un filet à thon avec des mailles grosses et pleines....
Pour les massifs "latéraux" il faudra bien les recoller au reste.
Pour le Massif Central, la densité des abris est tellement faible qu'on se demande si ça vaut le jus d'aller creuser ... mais s'il s'agit juste de peaufiner les limites de zones, pourquoi pas
La grande carte de France - dont seule la partie littorale Ouest s'affiche (sur FF), sans possibilité de bouger
- comporte des tas de minidécoupages de "pays" surtout inspirés à partir de documents administratifs n'ayant rien de cohérent en matière géographique ou montagnarde.
Ainsi, le "pays Voironnais" dont fait partie la commune où j'habite est un amalgame bâtard placé à cheval entre Chartreuse, Chambaran, Terres-Froides et Avant-Pays Savoyard : une création de fonctionnaires énarques ou autres, à seul but économique.
De grâce, pas de saucisson pour apéro, c'est à dire en tranches sub-millimétriques...
Les Pyrénées ont la chance d'être d'une simplicité évangélique, si on s'en tient à la partie française : une longue épine dorsale de presque 500 km, à partir de laquelle rayonnent presque perpendiculairement des grands systèmes de vallées qui iront tous se fondre dans la Garonne bien plus bas. C'est un peu plus sioux chez les Basques et les Catalans, mais tout de même clair dans les grands traits : je vote chaleureusement pour une belle subdivision pyrénéenne où on saurait distinguer Aure d'Ossau par exemple...d'autant que les cabanes abondent.
On a palabré jadis sur des pages et des pages, à propos de nos massifs, sur le choix à faire (impossible) entre logique de vallée (avec plusieurs bouts de massifs) et logique de massif (avec plusieurs vallées enveloppantes), d'autant qu'on est prisonniers des appellations connues de tous et ce depuis les Romains.
Alors, si on peut donner de la précision aux contours, d'accord, mais restons sobres, merci.
J'ai attendu avant de répondre...je suis assez partagé.
On peut évidemment rechercher la précision dans les limites des massifs (un peu taillés à la hache au début), sans vouloir pour autant saucissonner à outrance, ainsi :
- Escreins désigne une vallée protégée au NO de la Font-Sancte, mais partie intégrale de l'ensemble "Queyras"
- Les Aravis ne constituent que l'extrème bordure orientale des Bornes.
- Parpaillon, Trois Evêchés et Pelat sont des subdivisions par forcément plus parlantes que "Embrunais" ou "Ubaye", par exemple.
[b]Et il faut voir si le rapport surface/densité de cabanes en vaut la chandelle et se demander si un filet à sardines avec plein de mailles petites et vides est forcément mieux qu'un filet à thon avec des mailles grosses et pleines....[/b]
Pour les massifs "latéraux" il faudra bien les recoller au reste.
Pour le Massif Central, la densité des abris est tellement faible qu'on se demande si ça vaut le jus d'aller creuser ... mais s'il s'agit juste de peaufiner les limites de zones, pourquoi pas
La grande carte de France - dont seule la partie littorale Ouest s'affiche (sur FF), sans possibilité de bouger :shock: - comporte des tas de minidécoupages de "pays" surtout inspirés à partir de documents administratifs n'ayant rien de cohérent en matière géographique ou montagnarde.
Ainsi, le "pays Voironnais" dont fait partie la commune où j'habite est un amalgame bâtard placé à cheval entre Chartreuse, Chambaran, Terres-Froides et Avant-Pays Savoyard : une création de fonctionnaires énarques ou autres, à seul but économique.
De grâce, pas de saucisson pour apéro, c'est à dire en tranches sub-millimétriques...
Les Pyrénées ont la chance d'être d'une simplicité évangélique, si on s'en tient à la partie française : une longue épine dorsale de presque 500 km, à partir de laquelle rayonnent presque perpendiculairement des grands systèmes de vallées qui iront tous se fondre dans la Garonne bien plus bas. C'est un peu plus sioux chez les Basques et les Catalans, mais tout de même clair dans les grands traits : je vote chaleureusement pour une belle subdivision pyrénéenne où on saurait distinguer Aure d'Ossau par exemple...d'autant que les cabanes abondent.
On a palabré jadis sur des pages et des pages, à propos de nos massifs, sur le choix à faire (impossible) entre logique de vallée (avec plusieurs bouts de massifs) et logique de massif (avec plusieurs vallées enveloppantes), d'autant qu'on est prisonniers des appellations connues de tous et ce depuis les Romains.
Alors, si on peut donner de la précision aux contours, d'accord, mais restons sobres, merci.