par Claude Mauguier » 22 août 2013, 08:18
Swisstrekker a écrit : Je n'ai indiqué de surcroit que des établissements proposant au moins partiellement des services ou des prix comparables à un gîte, c'est à dire qu'ils comportent des dortoirs dans une gamme de prix comparable à celles d'un gîte. Mais, en tant que ressortissant d'un pays très démocratique, je pense que le débat mérite d'être ouvert ...
C'est exactement le critère que j'ai adopté pour l'établissement hôtelier de Juf (Suisse) qui est le seul à 20 km à la ronde et offre des couchages en dortoir à des tarifs "gîte d'étape", tout comme des chambres classiques. Cette formule est adaptable largement à l'est : Suisse, Autriche, Allemagne, alors qu'a contrario en Italie les 2/3 de tout ce qui se nomme "rifugio" ne concerne que des restaurants, gargotes, sans même une place de couchage pour un chien...
Il y a bien sûr des exceptions, comme l'ex-hospice du Gothard, géré désormais non plus par des moines mais par des banquiers et dont les tarifs s'adressent aux conducteurs de grosses bagnoles plutôt qu'aux porteurs de grosses chaussures.
[quote="Swisstrekker"] Je n'ai indiqué de surcroit que des établissements proposant au moins partiellement des services ou des prix comparables à un gîte, c'est à dire qu'ils comportent des dortoirs dans une gamme de prix comparable à celles d'un gîte. Mais, en tant que ressortissant d'un pays très démocratique, je pense que le débat mérite d'être ouvert ...[/quote]
C'est exactement le critère que j'ai adopté pour l'établissement hôtelier de Juf (Suisse) qui est le seul à 20 km à la ronde et offre des couchages en dortoir à des tarifs "gîte d'étape", tout comme des chambres classiques. Cette formule est adaptable largement à l'est : Suisse, Autriche, Allemagne, alors qu'a contrario en Italie les 2/3 de tout ce qui se nomme "rifugio" ne concerne que des restaurants, gargotes, sans même une place de couchage pour un chien...
Il y a bien sûr des exceptions, comme l'ex-hospice du Gothard, géré désormais non plus par des moines mais par des banquiers et dont les tarifs s'adressent aux conducteurs de grosses bagnoles plutôt qu'aux porteurs de grosses chaussures.