par Claude Mauguier » 26 janv. 2017, 09:09
Vous êtes bien optimistes, tous les deux...
A part les granges ou les abris dûment revendiqués comme privés, tous les autres bâtiments (communaux, pastoraux, forestiers, cynégétiques, etc.) peuvent être considérés comme
publics dès lors que leur accès s'étend par convention tacite (ou écrite) aux utilisateurs n'appartenant pas aux catégories pour lesquelles le dit bâtiment a été conçu.
Or, la chose publique (à moins que nous ne viviez dans une bulle irénique et onirique) a de moins en moins vocation a être respectée, tout comme le bien public et la morale publique, qui vont avec. Et ce ne sont pas les puissants qui donnent l'exemple de la vertu. Alors...
C'est à dire que les dégradations ou comportements de sauvages ne diminuent pas en fréquence ni en intensité ; nous connaissons suffisamment de cabanes qui nécessiteraient, outre le passage d'un menuisier ou d'un chauffagiste, la présence d'un distributeur de coups de pied au cul...
Trop d'information...? Vous avez raison. On devrait brûler tous les codes, décrets, lois et autres arguments désuets. Il ne faudrait surtout pas incommoder nos chères têtes blondes en les mettant face à leurs responsabilités, individualisme sacré oblige...
Et fermer toutes les cabanes définitivement, comme ça finira par arriver et c'est ce qui arrive notamment en Ariège où toutes les nouvelles cabanes pastorales sont bouclées à double tour, vu ce qui est arrivé aux anciennes.
Vous êtes bien optimistes, tous les deux... :saint:
A part les granges ou les abris dûment revendiqués comme privés, tous les autres bâtiments (communaux, pastoraux, forestiers, cynégétiques, etc.) peuvent être considérés comme [i]publics[/i] dès lors que leur accès s'étend par convention tacite (ou écrite) aux utilisateurs n'appartenant pas aux catégories pour lesquelles le dit bâtiment a été conçu.
Or, la chose publique (à moins que nous ne viviez dans une bulle irénique et onirique) a de moins en moins vocation a être respectée, tout comme le bien public et la morale publique, qui vont avec. Et ce ne sont pas les puissants qui donnent l'exemple de la vertu. Alors...
C'est à dire que les dégradations ou comportements de sauvages ne diminuent pas en fréquence ni en intensité ; nous connaissons suffisamment de cabanes qui nécessiteraient, outre le passage d'un menuisier ou d'un chauffagiste, la présence d'un distributeur de coups de pied au cul...
Trop d'information...? Vous avez raison. On devrait brûler tous les codes, décrets, lois et autres arguments désuets. Il ne faudrait surtout pas incommoder nos chères têtes blondes en les mettant face à leurs responsabilités, individualisme sacré oblige...
Et fermer toutes les cabanes définitivement, comme ça finira par arriver et c'est ce qui arrive notamment en Ariège où toutes les nouvelles cabanes pastorales sont bouclées à double tour, vu ce qui est arrivé aux anciennes.